› EMBRASSEZ-MOI.

jace haens
AVATAR @JAMIE DORNAN CREDITS @AWORLDOFNEVERS

☼ COLOR ON THE WALLS
~ AGE : vingt-huit ans ~ PROFESSION : assistant à la direction d'un magasin de mode ~ VILLE + DATE DE NAISSANCE : seattle, deux décembre ~ ORIGINES : américaines, françaises ~ GROUPE : shining castles.

Originaire de Seattle, il y a toujours vécu, même si ses parents, dotés d'un compte en banque honorable, lui ont rapidement fait découvrir le reste des États-Unis. Il se rend, par ailleurs, régulièrement en France - sa mère étant française, elle aime revenir dans son pays natal dès que possible › Jace a toujours vécu dans le milieu de la mode, avec une mère mannequin, et un père photographe, son envie de travailler au sein de ce domaine n'est pas étonnant › Jace est une pile électrique, il ne s'arrête jamais, et son enthousiasme se retrouve dans toute épreuve. Il n'a pas peur de prendre des coups, et fonce généralement tête baissé dans un obstacle. Il est animée par l'envie de réussir, et fait toujours tout pour arriver à ses fins › Appliqué au travail, c'est un employé exemplaire, qui suit les règles et obéit aux ordres. En dehors de ça, Jace ne se donne aucune limite. Il vit, profite, et ne se soucie jamais des conséquences de ses actes. C'est un amoureux de la vie › Il est provocateur, et très impulsif. Quant il boit, Jace en arrive facilement aux mains › Il lui arrive de se prendre pour un être supérieur, rien de très sérieux, mais chose qui énerve tout de même ceux qui l'entoure › Jace aime cuisiner, c'est d'ailleurs un splendide cordon bleu, susceptible de vous faire chavirer les papilles › Il aime les femmes, les séduire, les charmer, les rendre dingue. Les passions passagères sont ses préférées › Il aime le chocolat blanc, sentir le soleil pique son visage, la pluie, les couchés de soleil, poser ses mains sur le visage d'une personne, être heureux à partir de rien, les chansons qui te font frissonner, l'odeur de sa mère, être surpris › Il n'aime les grandes chaleurs, être habillé que de noir, l'ignorance, le chocolat noir, ne pas avoir raison, les femmes difficiles, penser à la mort, avoir à se poser trop de questions.

PRÉNOM ☼ Marine OÙ AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ☼ bazzart chéri AUTRES/CASSDEDI? ☼ wesh › EMBRASSEZ-MOI. 248604097

☼ ON ALMOST ANY SUNDAY MORNING
Je la dévisageais, souriant, espiègle. Je la voulais, qu'importe cette foutue réunion que ne nous mènais - pour l'instant - à rien. Je me pinçais la lèvre tout en glissant doucement mes doigts à mes cheveux. J'aimais les savoir en désordre, c'est plus esthétique, et plus appréciable. Mon regard était totalement captivé par sa personne, je m'imaginais poser mes lèvres contre les siennes. Cette sensation m'excitait, me piquait doucement le bas ventre. Je fermais les paupières, quelques secondes, et me tournais vers l'un de nos collègues, toujours en pleine récitation de son programme. Oui, et ? demandai-je, le coupant, sans gêne. J'étais d'ordinaire moins impatient, mais là, trouvais foutrement ennuyant et inutile un si long discours. Cela me semblait évident que cela n'allait nous mener à rien. Tu veux bien nous expliquer où tu veux en venir, clairement ? ajoutai-je, souriant. Je ne voulais pas passer pour un directeur difficile. J'étais tout l'inverse de ce terme, simple, et attentif à la moindre proposition. Seulement, je n'aimais pas savoir une salle de réunion totalement endormie. Le but étant d'avancer, de proposer, et faire progresser le magasine. Gêné, il nous annonça clairement son projet. J'en souriais, convaincu. Sally ? murmurai-je, comme pour m'assurer que mon enthousiasme était réciproque. Parfait susurra-t-elle, tout en quittant son siège. La réunion est terminée, merci à vous ajouta-elle avant de quitter rapidement la pièce. Je me levais, et la rattrapais en quelques pas. J'attrapais sa main, l'entraînais au sein de son bureau, refermais la porte et plaquais mes mains contre ses hanches. Puis-je connaître la raison de ton renfermement ? demandai-je, réellement intéressé par sa future réponse. Mes doigts remontèrent sous son teeshirt, je savais qu'elle n'allait pas apprécier ce geste. Je m'en foutais. Je t'ai connu plus souriante, et épanouie glissai-je tout en rapprochant mon visage du sien. Je l'empêchais de bouger, l'oppressais probablement. Mon bassin se colla au sien, mon regard se liait au sien. Un vibration me coupa de cette tension, mon portable. J'en sursautais, avant de me décaler. Je soupirai, mais collai tout de même un bref et bruyant baiser sur le coin de ses lèvres. J'acceptai ensuite cet appel, ma sœur. Elle était bien la seule susceptible de me faire quitter mon envie de chasser, et mon envie d'obtenir une fois de plus Sally sur la longue liste de mes conquêtes. Rapidement, mon visage perdit tout sa joie de vivre, mon front se fronça, mes sourcils se soulevèrent. Alice, de son doux prénom, m'annonça qu'elle avait besoin de moi, elle étais en larme. A demain marmonnai-je à l'intention de Sally avant de quitter l'endroit.